Marie-Thérèse Cardon
Amis, j’aime vos poèmes.
Vers doux comme des roses,
Vers au rythme de bohème,
Pour ne pas finir ils se posent
Captifs sur les parchemins,
S’ouvrent le soir avec nos rêves ;
Songes troublés ou sereins
Qui galopent et s’achèvent,
Se referment doucement
Dans l’ombre des fins de soirée.
Cantiques et mouvements,
Chimères des vers enlacés
Qui ne peuvent mourir,
Rimes qui se frôlent,
Emprisonnent notre souvenir…
L’heure est à la parole
En tombant de notre cœur.
Rime, je t’aime ainsi.
Tu fais notre bonheur.
Tu dessines notre vie.