GUILLAUME CRESPIN
Peut-être que si j’arrêtais constamment de penser
Je pourrais voir
L’éclat du coquillage
L’éclat d’un sentier dans la pierre
La rareté d’une clepsydre
La sensualité de la soie
L’ombre du nuage d’un arbre
Ta beauté du premier jour
Dans sa plus intime simplicité